Le blog de alacroiseedesfils

Quelques axiomes à méditer

Quelques règles simples à observer

Quelques préjugés à effacer

Presque tous, nous mangeons trop et trop vite.
Ce ‘ trop’ nous conduit à la mort…au galop !

Nous mangeons aussi trop de viande. Cela charge notre sang, fatigue notre rein, congestionne notre foie, use nos artères, encrasse nos articulations, gâte notre teint.- OUI, mesdames !

Maxime : Un seul repas solide par jour. Un seul gros plat à ce repas. Avant, des hors-d’œuvre (de préférence des salades de légumes frais et crus : céleris, jardinière, betteraves, cœurs de laitue, petits artichauts, etc.) ; après, des fruits ou du laitage, ou simplement, un bon fromage.

Rappelez-vous que, le soir, le dîner léger fait le sommeil léger.

Sachez vous soigner avec les simples remèdes de la nature.
Lorsque vous vous sentez lourd, embarrassé, l’estomac en mauvais état, songez au jus de fruits : une orange ou deux pressées dans un verre, le matin et le soir, et dont vous buvez le jus tout simplement.
 Le bouillon de légumes. Et mieux encore peut-être, l’excellente, la merveilleuse soupe d’herbes au bouillon de veau. (recette bientôt)

Etudiez aussi les diverses propriétés des tisanes,
vous en tirerez grand profit.

Exp : Myrtilles (fruit).- La confiture de myrtilles, les myrtilles elles-mêmes, sont un astringent rafraîchissant.

Repas vite fait, plus vite avalé, long à digérer.

Pour un bon fonctionnement de l’organisme, il faut boire un verre d’eau à chaque repas. De préférence, prendre toujours le vin à part sans le mélanger, et en petite quantité.

Les ménagères se font de grandes illusions sur les vertus nutritives du pain et sur les vertus tonifiantes du café. La tartine de pain trempée dans le café est un aliment de digestion difficile et de médiocre valeur nutritive. Qui mange trop de pain souffrira de ballonnement et de fermentation de l’estomac. Qui prend trop de café souffrira d’anémie, de palpitations de cœur, et d’usure nerveuse.

Le cacao, trop peu connu en France, est un excellent aliment.

Les découvertes modernes, qui ont mis en valeur le rôle des vitamines, nous ont averti qu’il nous est nécessaire d’introduire dans notre alimentation une certaine quantité d’aliments non cuits, de préférence végétaux : céleris frais à la rémoulade, salades peu vinaigrées, radis à la croque-au-sel. Le radis, lourd à l’estomac, devient très facile à digérer si l’on prend soin, d’abord, de le peler.

Ne mangez pas inutilement trop chaud : vous vous brûleriez les muqueuses et vous risqueriez des ulcères à l’estomac.

             Emploi des Pelures d’Oranges.

Ces pelures, que presque toujours l’on jette, après en avoir respiré le parfum, peuvent être employées très utilement pour allumer le feu.

On les recueille et on les fait sécher au four et  lorsqu’elles sont refroidies, on met quelques pelures sur le bois avant d’y placer le charbon ; dès que la flamme atteint la pelure,
elle s’enflamme et fait prendre le feu.

Pourquoi pas commencer par un coussin...



1°-Dessinez les gabarits sur vos tissus en marquant bien les pointes
 pour une bonne correspondance des coutures.
         2°-Montez les 4 triangles sur le carré.        
           3- Puis réunir d'abord  les 2 carrés du haut.
4°- Faire de même pour ceux du bas.
   5°- Puis réunir l'ensemble par le milieu.

Besoin d'aide.... je suis là!
Ce n'est pas très difficile et vous serez enchantés du résultat.
Merci de m'envoyer un petit message
ou une photo si vous réalisez ce modèle.

Qu'il est doux de recevoir un cadeau...



Cette jolie boîte de ma grande soeur.
Merci, merci Marie-Thé c'est trop beau!

Le dimanche

Quand l’aurore renaît avec sa robe blanche,

La cloche dans les airs chante son chant pieux.

Sonnez, cloches du temple, annoncez le dimanche ;

Sonnez pour le vieillard et pour l’enfant joyeux.

Que celui-là qui veut maison prospère,

Travaille et se prosterne au pied du saint autel.

Sonnez, cloches du temple, annoncez la prière ;

Qu’importe le travail sans la grâce du ciel ?

Si, las de son labeur, sur la terre il se penche,

Voici le samedi qui revient l’égayer.

Sonnez, cloches du temple, au matin du dimanche,

Le Seigneur se souvient de l’honnête ouvrier.

Si malgré nous, parfois, notre force chancelle,

Bientôt tout est fini, bientôt on doit mourir.

Sonnez, cloches du temple, à l’heure solennelle ;

L’âme du fils d’Adam a cessé de souffrir.

Xavier Marmier  de l’Académie française